4 novembre 2009



D'ailleurs, nous voici à l'heure du...




bon.
j'avoue.
je me sens perdue.
ces débats me sont totalement étrangers.
tout comme l'idée de patrie.
dont le concept abscons
(c'est à dire, à la fois abstrait et con)
me laisse abstraitement et connement indifférente.
froide.
de glace.
alors, du fond de mon indifférence,
je me rapproche curieusement du bord de l'abîme
(d'une démarche nonchalante qui cherche à ne pas trahir son trouble)
et je me demande
comment faire la différence entre une méfiance saine
et une psychose alarmiste?...
et ça, en dessous:



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