31 juillet 2009

Cachez ce sein que je ne saurai voir

Il y a des choses plus graves mais...

Trouver des sous-vêtements ou
la chronique d'une galère.


Pour certaines c'est chose aisée,
pour d'autres moins...



1- Le confort avant tout


Votre grand-mère a le même?...



2- Un brin sexy


Sans risquer la mort par étouffement.



3- De la simplicité


La dentelle oui mais...



Et lorsqu'on a enfin trouvé la perle rare,
c'est à dire à son goût et à sa taille ...




...

29 juillet 2009


il y a un mois, gladys s'envolait avec ses amis
pour des contrées lointaines
là-bas au nord...



maintenant c'est mon tour...

demain matin,
le coeur léger et la foufoune ravie,
j'embarque pour le soleil
avec mes amis...


voici donc un peu du bruit que fera le moteur ,
un peu de la torpeur qu'induira le soleil,
un peu de la fièvre des longues soirées d'été
rien que pour vous.

bonnes vacances!!!
FREAKS



Madame n°3 est la mum
d'un monsieur muscle bien connu !...


28 juillet 2009


" On ne naît pas femme : on le devient. "

Simone de Beauvoir

25 juillet 2009


"la femme ne peut égaler l'homme
dans la sublimation de
la sexualité."
freud

24 juillet 2009

Ouais encore des meufs 



En 1975


des nouvelles du pays de F

...


 et son 

-malgré leur difficulté à faire passer leur fameuse loi instituant la
Haute Autorité pour la Diffusion des Oeuvres et la Protection des droits sur Internet,
visant en gros à punir les auteurs de téléchargements illégaux
d'une grosse amende et d'une déconnection internet 
(ne donnant pas lieu à l'interruption du payement de l'abonnement, faut-il le préciser?)-
ont décidé de lancer un appel d'offre pour la création
d'un logo et d'une charte graphique pour cette future haute autorité.
les propositions pleuvent:


logo HADOPI ministère de la cultureu


logo HADOPI ministère de la culture


logo HADOPI ministère de la culture


logo HADOPI ministère de la culture


logo HADOPI ministère de la cultureu


logo HADOPI ministère de la cultureu


...


évidemment, 
ça nous ramène au pendant contraire d'hadopi:




...
 


et y'en a d'autres qui disent qu'on est pas populaire sans raison...






Tentative

Parce que la femme ne se réduit pas à une définition :

Allumeuse, Amante, Amazone, Bécasse, Belette, Bombe, Bonne, Bourgeoise, Call-Girl, Catin, Chienne, Chipie, Cocotte, Compagne, Conasse, Courtisane, Cousine, Cover-girl, Créature, Dame, Demoiselle, Duègne, Dulcinée, Epouse, Escort-girl, Favorite, Fille de joie, Gagneuse, Gamine, Garce, Gonzesse, Greluche, Harpie, Lesbienne, Madame, Maîtresse, Maman, Mamie, Marâtre, Mauvaise vie, Mégère, Mémé, Mère, Meuf, Midinette, Mignonne, Môme, Morue, Moukère, Muse, Nana, Nénette, Nonne, Nubile, Nympho, Pépée, Péripatéticienne, Pétasse, Petite vertu, Pierreuse, Pin up, Poufiasse, Poule, Princesse, Prostituée, Pucelle, Putain, Pute, Régulière, Reine, Religieuse, Rombière, Roulure, Sainte, Salope, Soeur, Sorcière, Soubrette, Souris, Starlette, Tante, Tapineuse, Tombeuse, Top modèle, Traînée, Vamp ...


Toutes des fallopes

23 juillet 2009

Illustration n°2
Les visages de la passion colérique

Démonstrative


Déterminée


Circonspecte


Contenue



toutes des putes!!
(même maman.)


 n'aurait-on pas quelques raisons légitimes d'en vouloir aux femmes, et en poussant plus avant l'idée d'orelsan (qui, lui, ne s'en prend qu'à l'objet particulier d'une amourette déçue en exprimant sa colère d'une façon qui, sans la sublimer totalement, lui apporte toutefois une légitimité d'auteur) d'établir comme présupposé que les femmes sont toutes des putes???



la question mérite d'être posée. en effet on peut observer tout au long de l'histoire que le rôle des femmes, bien que défini comme assujettissement aux hommes par ces derniers,  s'avère plus complexe. par le terme d'assujettissement on peut entendre bien sûr que la domination masculine leur aura interdit toute forme d'autonomie et les modalités d'expression d'un pouvoir direct sur le cours des choses. mais par assujettissement on peut aussi comprendre que leur rôle étant subordonné, subalterne à celui des hommes, il est absolument indispensable à l'accomplissement de l'humanité qui sans elles eût été frappé d'incomplétude, voire même d'impossible. n'auraient-elles pu de par ce fait s'offrir sans peine les opportunités nécessaires à voir leur condition changer? il aurait fallu pour cela qu'elles témoignent d'une insatisfaction de cette condition. or, elles n'ont saisi ces opportunités que très tardivement. pourquoi?


bien sur, on peut choisir l'angle de la victimisation, observer le rôle des religions et des sociétés patriarcales et affirmer que n'ayant été tenues par elles qu'à occuper des rôles d'objets pendant des siècles, elles auront inconsciemment consenti à s'assujettir au discours dominant jusqu'à le faire leur, cela est d'usage. mais on peut aussi changer de point de vue pour voir, et se demander dans quelle mesure elles n'auraient pas su tirer avantage de cet assujettissement, et s'y complaire.



en effet, dès 1789, on a établi la liberté comme étant fondamentale, au point d'en apposer le caractère absolu dans l'article 1 des droits de l'homme et du citoyen, la liberté étant celle de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses convictions propres. cependant faire des choix n'est pas la chose la plus aisée ni la plus naturelle au monde. et il est parfois confortable de n'avoir pas à se poser de questions auxquelles trouver des réponses est souvent difficile, non plus que de combattre l'adversité à laquelle tout cela nous expose. de plus les efforts intellectuels demandant constance, courage, abnégation, et pugnacité, on ne peut que comprendre l'absence de goût pour la bagarre des nombreuses femmes qui n'auront pas cherché à s'y risquer, préférant tacitement une exclusion des débats à une exposition aux coups, fussent-ils conceptuels.



outre les considérations intellectuelles, il convient de ne pas occulter l'aspect plus trivialement matériel, malgré tout nécessaire au confort moins qu'à la survie même. de même qu'on ne peut pas vivre sans manger, il apparaît chez l'humain des nécessités toute sociales mais non moins urgentes telles que l'habillement et l'ameublement, qui demandent une implication matérielle qu'on considère encore aujourd'hui comme relevant de compétences féminines. on a longtemps confiné la femme à la maison, espace intérieur où se joue l'intimité des familles, tout pendant que les hommes eux se confrontaient au monde extérieur, ramenant de par leur travail, l'argent nécessaire à la survie du ménage. ne peut-on pas y voir quelque avantage? certes, on a aussi fait des femmes des mères ayant pour devoir d'assurer l'éducation des enfants, mais il faut savoir qu'avant l'application de la philosophie rousseauiste au XIXème siècle, seulement peu de femmes assuraient elles-mêmes ce travail, la plupart envoyant leurs rejetons chez des nourrices à la campagne jusqu'à ce qu'ils soient en âge d'aller en pension. ce qui signifie que pour les femmes les plus fortunées la vie n'était faite que de loisirs. bien sûr elles n'étaient pas les plus nombreuses, les pauvresses devant bosser dur pour ramener un complément de subsistance au foyer, donc loin de moi l'idée que la vie n'était pas au moins aussi chiante à l'époque qu'elle l'est aujourd'hui... mais n'est-il pas possible de considérer les femmes aisées, entretenues et oisives comme de simple catins? et les autres comme potentiellement putifiables eu égard au fait que les plus aisées étaient considérées comme des modèles à suivre et comme vivant un destin enviable?



... encore aujourd'hui, on constate que les femmes demeurent coquettes, se maquillent, s'habillent avec soin, s'épilent savamment et s'affublent d'accessoires ridicules, se dessinant elles-mêmes comme objet de la projection du désir masculin autant que féminin. encore aujourd'hui on érige comme modèles féminins des starlettes dévouées à un système qui fait d'elles des putes. et encore aujourd'hui, et de manière plus commune encore, on constate qu'une femme divorcée, même sans enfant, perçoit le plus souvent une pension alimentaire de la part de son ex-mari. pourtant on touche du doigt l'émancipation avérée des femmes, même si les salaires ne sont toujours pas égalitaires, même si dans pas mal de domaines professionnels les femmes sont encore sous-représentées. mais j'ai peine à croire que si les femmes obtenaient un salaire égal, elles seraient prêtes à renoncer en échange à leur pension alimentaire. nombreuses sont celles qui le voient comme un acquis.



j'ai l'impression à cet endroit du texte de ne pas parvenir à exprimer l'idée profonde qui me taraude. c'est que je pose des questions auxquelles il m'est difficile de répondre. peut-être que pour une belle démonstration en creux attestant bien l'idée que les femmes sont des putes qui ont bien mérité le sort que l'histoire leur a réservé, j'aurais dû utiliser la figure de la comédienne à travers les âges, les comédiennes ayant de tout temps usé de toutes les cordes qu'elles ont à leur arc. évoquer la "nana" de zola, superbe moyen d'accréditer mon propos, ou faire un petit bréviaire des pratiquantes hollywoodiennes de la promotion canapé. j'en serais finalement arrivé à la conclusion que les prostituées, ces femmes qui font un usage professionnel de leur charme et de leur corps sont moralement les plus honnêtes, et de ce fait les moins critiquables des femmes. je serai alors certainement parvenu à mon but. 
(...)




mais d'abord, j'aurais peut-être dû chercher à répondre à la question:
c'est quoi une femme???
hein??
et toutes les femelles de l'espèce humaine sont-elles des femmes????





...
(et puis tiens, après tout, c'est peut-être juste la vie qui est une pute.)



une occasion comme une autre d'illustrer ce qu'est cette 
COLÈRE STÉRILE
dont nous usons comme d'un sobriquet.



"la colère est une émotion simple.
elle traduit l'insatisfaction.
elle est une réponse à la frustration.
elle se teinte, selon l'humeur, des couleurs 
du mécontentement,
de l'irritation,
ou de l'exaspération,
de la fureur.

elle est la rage qui répond à l'impuissance.
la révolte qui répond à l'injustice.
mépris, jalousie, dépit, rancune
en sont d'autres composantes...

dans tous les cas, 
elle est la manifestation d'un déséquilibre
entre le besoin et sa satisfaction,
le désir et son comblement,
l'attente et sa réponse.

la colère mobilise l'organisme entier.
l'esprit est concentré sur ce qui représente
un obstacle à notre bien-être,
et le corps se pare d'attributs:
les poings se ferment,
la peau devient rouge,
et le nez s'emplit de moutarde.

cette mobilisation nous prépare à l'attaque.
on devient prêt à se défendre,
à conquérir ce qui nous apportera la satisfaction désirée.
la colère apporte l'énergie nécessaire à vaincre
l'obstacle dressé devant nous.


illustration:





bien que la colère conduise parfois à la violence,
il est impossible de la faire disparaître:
non seulement elle fait partie du répertoire fondamental de la vie émotionnelle,
mais en plus il n'est pas faux d'affirmer que
nous vivons dans un tel "monde de merde",
qu'il ne peut s'agir que d'une émotion normale qui,
comme toutes les émotions,
est saine en elle-même.
comme les autres émotions, elle est même nécessaire
aux processus adaptatifs qui permettent
de conduire notre vie et nos rapports aux autres."





" En disant "monde de merde", j'ai voulu dire que le monde allait mal. 
 C'est un cri de révolte que j'ai lancé à mes frères opprimés.
Finissons-en avec la résignation et l'indifférence.
Ouvrons les yeux! Partout l'injustice, le nationalisme, l'exclusion,
ça me débecte.
Tu as déjà entendu parler de l'hégémonie du grand capital?
(...) Faut se mettre au travail, afin de vaincre les fanascismes...
C'est un concept à moi, ça dénonce à la fois les fascistes et les fanatiques.
(...) Ah, monde de merde! "

george abitbol



22 juillet 2009

Qui sont les femmes ?

Par le dessin, nous apprenons à donner forme à la perception visuelle
Avec, entre autre, la perspective à plusieurs points de fuite.

Il en est de même pour les idées :
Le monde prend forme avec plusieurs points de vue.

Exemple :
La chanson "Sale pute" écrite et interprétée par Orelsan
au coeur d'une vive polémique.

Point de vue n°1 : l'auteur, le porteur du message

Il a le coeur brisé
Il est drôlement fâché
Il exprime sa colère non sans une certaine cruauté

Point de vue n°2 : des femmes et par extension des féministes

Elles sont aussi sacrément fâchées
Elles dénoncent
Machisme. Sexisme
Incitation à la violence envers les femmes
Et la sempiternelle image de la femme diabolique.

Point de vue n° 3 : les instances publiques

Elles sont outrées
Elles défendent certaines valeurs
Elles pensent protéger la jeunesse
Elles prennent leurs responsabilités
Et posent alors les garde-fous de cette "respectabilité" :
La censure.

Point de vu n°4 : la ligue de défense des droits de l'homme

Elle crie gare à la dérive en dégainant sa liberté d'expression.

Point de vue n°5 : une quidam

En vrac :

Ah oui, ras le bol de cette vieille rengaine
Je cite : " Un démon déguisé en femme."
En 2009, on croit rêver !
Et non, les femmes ne sont pas toutes des saintes
Ah bon ?
Et elles ne sont pas toutes des putes non plus
Ah oui ?
Aller, tu t'en remettras, crois-moi.
Sinon, j'espère qu'elle fait du taekwondo la fille.

La poésie, à mon goût, se passerait volontiers de tant de vulgarité
Mais j'le trouve touchant moi quand il traîne son désarroi sur une plage
Un vrai mec dis-donc avec des gros mots et de la sensibilité
Mais qui sait ce que l'on dit comme horreurs lorsqu'on est en colère.

Mis à part, cela fait les choux gras d'une boîte de production
Gare à la dérive, avec et sans liberté d'expression
Ne nous noyons pas dans un verre d'eau
Censurons alors Skyrock, Fun Radio,
tous les clips de R'N'B et Paris Hilton.

Question de point de vue...



20 juillet 2009

Happy Birthday to you, Mister President...



Nota Bene :

Le Congrès Etasunien a choisi le drapeau américain
en lieu et place du drapeau des Nations-Unies
God Bless America!


humide avec quelques éclaircies...




19 juillet 2009

La GaGNaNTe Du Dimanche !


grand quizz du dimanche

les voici dans la fleur de l'âge,
mais ils ont depuis troqués leurs boutons
contre la gloire...
sauras-tu les reconnaître??


1) qui? 
moi??? 
vierge????


2) tombé la,
tombé,
tombé la chemise...


3) quand j'ai viré l'afro, 
j'ai du compenser avec des talonnettes...


4) seriously spotty then, 
seriously freaky now...


5) je danse comme une pute avec mon gros cul,
mais tout le monde m'adore...


6) je ressemble à david hallyday, 
mais contrairement à lui, 
j'ai eu la décence de me tirer une balle en pleine tête...


17 juillet 2009



ouvre tes yeux et ton coeur, 
alors tu le verras....




MMMMMMeRVeiLLe Du MoNDe



Un indice


Elle a grandi dans une série trop cool
diffusée de 1974 à 1984
.

16 juillet 2009