29 décembre 2011

19 décembre 2011

Wouhou
Je suis reconnectée 




15 jours sans internet à la maison
Mais comment a-t-on tenu le coup???


14 décembre 2011

Elle aime le thé



et elle aime les jeux.


Je crois qu'elle se plaît chez nous.
...

13 décembre 2011









Isn't it amazing?


‎"In Washington DC , at a Metro Station, on a cold January morning in 2007, a man with a violin played six Bach pieces for about 45 minutes. During that time, approximately 2000 people went through the station, most of them on their way to work. After about four minutes, a middle-aged man noticed that there was a musician playing. He slowed his pace and stopped for a few seconds, and then he hurried on to meet his schedule. About four minutes later, the violinist received his first dollar. A woman threw money in the hat and, without stopping, continued to walk. At six minutes, a young man leaned against the wall to listen to him, then looked at his watch and started to walk again. At ten minutes, a three-year old boy stopped, but his mother tugged him along hurriedly. The kid stopped to look at the violinist again, but the mother pushed hard and the child continued to walk, turning his head the whole time. This action was repeated by several other children, but every parent - without exception - forced their children to move on quickly. At forty-five minutes: The musician played continuously. Only six people stopped and listened for a short while. About twenty gave money but continued to walk at their normal pace. The man collected a total of $32. After one hour: He finished playing and silence took over. No one noticed and no one applauded. There was no recognition at all. No one knew this, but the violinist was Joshua Bell, one of the greatest musicians in the world. He played one of the most intricate pieces ever written, with a violin worth $3.5 million dollars. Two days before, Joshua Bell sold-out a theater in Boston where the seats averaged $100 each to sit and listen to him play the same music. This is a true story. Joshua Bell, playing incognito in the D.C. Metro Station, was organized by the Washington Post as part of a social experiment about perception, taste and people’s priorities. This experiment raised several questions: In a common-place environment, at an inappropriate hour, do we perceive beauty? If so, do we stop to appreciate it? Do we recognize talent in an unexpected context? One possible conclusion reached from this experiment could be this: If we do not have a moment to stop and listen to one of the best musicians in the world, playing some of the finest music ever written, with one of the most beautiful instruments ever made…How many other things are we missing as we rush through life?"

8 décembre 2011

allez hop
un mini quizz politichienne:

1) pétasse

2) bonnasse

3) connasse


* ... à l'exception de l'une d'entre elles,
le choix des terminologies s'est fait en dépit du bon sens... *


le seigneur soit avec vous


6 décembre 2011

MiaM





foui foui choyeuz zaint nigolaï

Joyeuz Sint-Nicolaï



Et qu'est-ce qu'il nous a apporté cette année?




UN GOUVERNEMENT

Youhou,
A nous les réformes
Les nouvelles taxes
Et les restrictions budgétaires!




5 décembre 2011

30 novembre 2011

Food Flags





J-1







 80 CAISSES
200M DE SCOTCH
4 SACS DE VOYAGE
1 VALISE
1M3 DE DECHETS
7 SACS POUBELLE
5 TOURNEES DE LINGE
18 LITRES DE SUEUR
+++




29 novembre 2011

Portrait robot du psychopathe


Les noms qui nous viennent spontanément à l’esprit, 
à l’évocation du mot « psychopathe », sont ceux de:


 Guy Georges


 Michel Fourniret


 Ted Bundy


Marc Dutroux

En réalité, la psychopathie est un trouble du comportement relativement répandu (environ 1 % de la population) et fort heureusement, rares sont les psychopathes qui basculent dans le crime. La majorité d’entre eux vivent des vies normales. On peut en croiser dans tous les secteurs de la société.

A quoi peut-on les reconnaître???

De beaux-parleurs : ils sont souvent très doués à l’oral, d’autant qu’ils ne ressentent pas d’anxiété ou d’appréhension à parler en public. Ils ont réponse à tout et sont capables de moucher les meilleurs orateurs. Bagout extraordinaire, tchatche exceptionnelle, faconde hors-norme. Méfiance.
Charme, charisme, aura : les psychopathes sont souvent charismatiques. Certains se transforment en gourous dans des sectes. On leur prête naturellement des qualités de meneurs d’homme. Ce sont de grands séducteurs. Si vous les intéressez (parce que vous avez de l’argent, du pouvoir, du prestige), ils parviendront à gagner votre confiance.
Narcissisme : les psychopathes sont toujours très arrogants, mais certains parviennent à dissimuler ce trait de personnalité déplaisant sous une fausse modestie. Ils ont une vision grandiose de leur propre importance. Ils ont l’impression d’être des surhommes, des individus à part, des bienfaiteurs, des sauveurs. Ils se perçoivent comme le soleil de la scène sociale. Leurs démarches, toujours intéressées, seront souvent présentées comme des faveurs. Dans leur esprit, tout leur est dû car ils sont exceptionnels ; par conséquent, ils se servent. On parle souvent de leur « mégalomanie » ou de leur « égocentrisme ».
Absence d’empathie : les psychopathes sont abominablement dépourvus d’empathie. Ils n’ont pas de sentiments pour les autres : ni amour, ni amitié, ni compassion. Parfois, ils font même preuve de sadisme. Beaucoup mettent en scène, de manière théâtrale, leur empathie. Ils s’efforcent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas : des personnes sensibles avec un cœur grand comme ça.
Manipulateurs hors-pair : il existe de multiples manières de manipuler autrui. Les psychopathes possèdent un répertoire de techniques de manipulation particulièrement riche. Ils mentent avec un aplomb déconcertant ; ils peuvent vous culpabiliser en évoquant des obligations familiales ou professionnelles ; ils ont recours à des expressions-cadenas pour vous obliger à penser comme eux. Par exemple : « Quiconque pense le contraire est hypocrite ». Ils adoptent fréquemment une tonalité docte et se posent en dépositaires du savoir absolu. Ils tiennent des propos ambigus qui visent à vous faire comprendre leur pensée sans avoir à la formuler explicitement, pour éviter de se mouiller, etc.
Gestion virtuose de leur image : ils se comportent différemment selon les personnes à qui ils ont affaire. De sorte que certains les trouveront admirables, alors que d’autres auront perçu l’envers de la médaille : les mensonges, les manipulations, l’arrogance. Ils peuvent aussi se comporter très différemment en public et en privé, si bien qu’on a l’impression d’avoir affaire à un Dr Jekyll et Mr Hyde. Les psychopathes sont des communicants instinctifs. Ils ont un talent naturel pour donner d’eux-mêmes une image très flatteuse. Ils se font valoir pour le travail et les réalisations de leurs collègues ; ils bidonnent leur CV ; ils arrangent leur histoire ; ils traquent férocement tous ceux qui dans leur entourage ont compris à qui ils avaient réellement affaire et seraient susceptibles de faire tomber le masque.
La labilité logique : les psychopathes ont tendance à multiplier les erreurs de raisonnements. Ils accordent trop d’importance à certains faits, en minimisent d’autre. Leur esprit d’analyse, très sélectif, ne détecte que ce qui les arrange. Leur mémoire fonctionne de la même manière. Il leur arrive de se contredire dans une même phrase. Ils font des promesses qu’ils oublient peu de temps après. Ils commettent des lapsus, interprètent mal une situation. Tout cela pour vous manipuler. Après coup, ils vous diront qu’il s’agissait d’un « malentendu ».
Prise de risque : les psychopathes ont tendance à s’ennuyer et prennent plus de risques que les autres. Ils sont irresponsables et ont, semble-t-il, du mal à envisager toutes les conséquences de leurs actes. Ils ont fréquemment des trajectoires météoritiques. Du jour au lendemain, tout s’effondre comme un château de cartes. Parce que le psychopathe vit dans une bulle de présent. Il préfère jouir d’une gloire éphémère.
Absence de remords : ils ne ressentent jamais aucuns remords. Ils n’assument pas leurs responsabilités. Ils rejettent systématiquement la faute sur des boucs-émissaires. Ils essaient de culpabiliser les autres et de se faire passer pour de pauvres victimes. Ils minimisent les dommages qu’ils ont commis.
L’agressivité : les psychopathes sont toujours très agressifs et très combatifs. Ils ont aisément recours à des menaces. Ils conçoivent la vie comme une succession de combats avec, à chaque fois, un vainqueur et un vaincu. Ils sont déterminés à faire ce qu’il faut pour sortir vainqueur. Certains ont un tempérament explosif et peuvent en venir aux mains aisément. Ils abusent des procédures juridiques. Ils passent leur temps à dénigrer, à critiquer, à dévaloriser pour alimenter leur soi grandiose. Ce qu’ils font est exceptionnel ; ce que les autres font est banal.
La paranoïa : les psychopathes ont tendance à penser que tout le monde possède le même profil psychologique qu’eux. Si jamais on leur demande des comptes, ils crieront au complot. Ils ont souvent des tendances paranoïaques, pensent qu’on veut leur « faire la peau » ou qu’on leur a « baisé la gueule ». Ils n’ont aucun mal à imaginer que les autres commettent toutes sortes d’ignominies, car c’est ainsi qu’eux-mêmes se comportent. L’humanité est une confrérie de requins selon eux. Les psychologues disent qu’ils « projettent » sur autrui leurs propres dispositions psychologiques. Ils possèdent une connaissance intuitive du vice qui leur permet de voir le mal partout et notamment dans le bien. A leurs yeux, une amitié sincère devient du « copinage », du « piston », des « arrangements ». Ils peuvent se transformer en inquisiteurs féroces. Beaucoup de gens se font avoir et pensent qu’une personne qui dénonce avec virulence l’amoralité d’autrui est nécessairement exemplaire.
L’appétit de pouvoir : les psychopathes sont des « control freak ». Ils éprouvent le besoin de contrôler les gens qui gravitent autour d’eux et qu’ils perçoivent comme des objets ou des robots rats dont la seule fonction serait de subvenir à leurs besoins (psychologiques, matériels, sexuels). Ils sont dominateurs. Certains deviennent de parfaits tyrans domestiques. Ils occupent fréquemment des postes à responsabilité dans leur vie active. Ils s’entourent d’adjoints dociles et traquent tous ceux qui peuvent leur faire de l’ombre.
Ils connaissent la langue, mais pas la musique : le spectre émotionnel des psychopathes est pauvre. Ils apprennent tout au long de leur vie à simuler ces émotions qu’ils ne ressentent pas, notamment toutes celles qui relèvent de l’empathie et du sens moral : l’amour, l’attachement, la compassion, la honte, la tristesse, la dépression. On a souvent remarqué à leur propos qu’ils connaissent la langue, mais pas la musique. Les émotions qu’ils expriment sont parfois fausses. Ils ont tendance à en faire trop, leur style est grandiloquent, ampoulé, fleuri, pompier, truffé de métaphores. Il manque de sincérité.
Un style théâtral : les psychopathes ont tendance à en faire trop également sur le plan de la gestuelle. Ils ont un petit côté théâtral et parlent avec les mains, leur corps. Ils multiplient les mimiques, lèvent les yeux au plafond pour vous faire comprendre que vos propos sont stupides, ils soupirent, haussent des épaules, etc. Ils peuvent faire intrusion dans votre espace intime, vous toucher alors que vous les connaissez à peine. Ils outrepassent les étapes traditionnelles de l’amitié qui s’ébauche en s’efforçant de vous faire croire - trop vite - que vous êtes déjà les meilleurs amis du monde.
Ses ouvrages, en anglais :
Snakes in suit : when psychopaths go to work (écrit avec le Pr Paul Babiak)



28 novembre 2011

une petite pub sud-africaine pour une chaîne de manger-vite.
"Last Dictator Standing"



It must be lonely at Robert Mugabe’s during the holidays. 
That’s the premise of a new ad from South Africa–based fast-food chain Nando’s, 
which has scored a viral hit by depicting Zimbabwe’s President (or rather, a look-alike) 
all alone at a festive dinner table once crowded with his fellow dictators. 
Luckily, memories of sunnier days past 
— making sand angels with Saddam Hussein, karaoke with Chairman Mao, hitting the swings with P.W. Botha — keep Mugabe’s spirits up.


C'est lundi
Youpi






23 novembre 2011

La jolie découverte d'hier





Et la confirmation en live




Une poignée d'heures bercée par la poésie, loin des tourments du monde
çà fait du bien...



22 novembre 2011

Chose étrange que de fabriquer un être humain





Et d'entendre battre son coeur dans son ventre




MURMURATI°N

16 novembre 2011

                         Sunday's Artists should earn double time.
   
      today it's sunday, i've got
    my name is
    long is the time and
    nothing happens except that
    and i really think

Colère stérile du jour


Depuis combien de temps l'artiste est-il si mal considéré?
Soit élevé au rang d'icône ou de superstar, soit un galérien du système.
Heureux sont ceux qui trouvent un équilibre entre les deux!

L'artiste lutte invariablement pour la reconnaissance de son travail.
Se trouver une place dans une société industrialisée où le produit est roi
mais la production poussée à son extrême précarité.

L'artiste travaille, même s'il ne (se) produit pas.
Son cerveau, ses sens, ses muscles sont en éveil quasi constamment.
En amont, il monopolise une énergie et un temps considérable à se diffuser, se promouvoir, se vendre.
Heureux sont ceux qui trouvent manager, agent, producteur!

Peu peuvent se vanter de vivre de leurs créations.
Certains deviennent indépendants, se trouvent un job alimentaire,
d'autres s'en remettent au "statut d'artiste" complété par une allocation de chômage pour les fins de mois souvent périlleuses.
Un concert, une représentation, une expo ou un salon ne nourrit pas son homme douze mois sur douze.

Un statut, c'est une place, aussi inconfortable soit-elle ;
salarié, ouvrier, indépendant, artisan, chômeur, RMIste, artiste...
Ce statut d'artiste est très récent au pays de B.
Avant lui, il y avait la case bûcheron, entendons par là un travailleur saisonnier.

Grâce à l'Asbl SMart, relayé par l'un ou l'autre syndicat,
les artistes peuvent entrer des contrats bien taxés sur leurs revenus aussi ponctuels soient-ils.
Ils peuvent aussi créer leur "entreprise".
Une alternative. 
Une sécurité.
Une reconnaissance.

L'ONEM, a ouvert des portes dans ce sens et les referment brutalement aujourd'hui.
Des personnes institutionnalisées, politisées, décideront dès lors qui est artiste et qui ne l'est pas.
 Qui aura accès à ce statut ou non.
Elles se préparent à couper l'herbe sous le pied à de nombreux créateurs
et les pousser ainsi à devenir indépendants, chose impossible pour la plupart.
On ne vend pas des oeuvres comme on vend des sandwichs...
De plus, grâce à une communication volontairement partielle et incohérente, une grande confusion s'installe.
On divise ;  les artistes du spectacle d'un côté et les plasticiens de l'autre.
Cela rend la résistance plus ardue...

Considérons ce statut et l'allocation de chômage qui va avec comme un soutien à la création.

Un moyen d'aider les artistes, techniciens, créateurs, auteurs, concepteurs de tous poils :


13 novembre 2011


« — i'll hold you
and i'll rock you
to sleep
...




...
 — that's nice but please
don't forget to give me a sleeping pill
cause i really need it. »


10 novembre 2011

Sweet Princess


Quelques minutes de détente avant d'entrer en scène


8 novembre 2011

Marylin,

poussin mort,

arrête de tousser.